Tous ceux qui enseignent et apprennent le français savent bien que le 20 mars est la Journée Internationale de la Francophonie. Et pratiquement toute la dernière semaine du mars est liée à cet évènement. Nous, les professeurs de français, organisons ce jour-là toutes sortes d’activités.
Voilà comment cela est organisé dans notre gymnase numéro 2 de la ville de Kline. Chez nous cette fête commence déjà le 7 mars. C’est que depuis 2008 dans notre gymnase nous avons la Chorale des Amateurs de la chanson française. Tous les enfants qui apprennent le français font partie de cette chorale. Les enfants aiment beaucoup chanter en français et ils le font avec un grand plaisir. Notre chorale participe à tous les concerts au niveau scolaire et au niveau municipal. Et au mois de mars nous participons traditionnelement au concert à l’occasion de la Fête des Femmes. Et ce concert ouvre la célébration de la Journée Internationale de la Francophonie dans notre gymnase. Cette année les enfants ont chanté 2 chansons pour les enfants «Lundi matin le roi, la reine et le petit prince...», «Cadet Roussel» et 2 belles chansons d’Enrico Macias «Enfants de tous pays» et «L’amour, c’est pour rien». Avant l’interprêtation des chansons je raconre l’histoire de la chanson et je donne une courte traduction pour que les specteteurs comprennent le contenu de cette chanson.
Le 20 mars a eu lieu le concours des dessins et des journaux muraux sur le thèma «Ma chère France». Ce concours est aussi devenu une bonne tradition dans notre gymnase. Toutes les classes y participent. Nos enfants sont bien doués et on a beaucoup de beausx dessins.
Et encore un concous a été organisé lors de de la Journée Internationale de la Francophonie – le concours de la poésie française quand les enfants récitent leurs poèmes français préférés.
Et bien sûr ce jour-là nous avons écouté de belles chansons françaises et regardé de beaux vidéos sur la France et ses curiosités. Et aussi j’ai raconté aux enfants mes voyages à travers la France.
Cette fête permet de maintenir l’intérêt des enfants pour le français et de les motiver à apprendre cette belle langue.
Nina Djouromskaia, la ville de Kline, Association des Enseignants de Français en Russie (AEFR)